• Le sport est porteur d'enjeux fondamentaux pour l'avenir de notre société.

    Vecteur de cohésion sociale, porteur d'une éthique, facteur de socialisation des jeunes et de bien-être d'une population en bonne santé.

      photo judo       photo foot


    Nous devons soutenir les associations sportives dans leur projet de développement de la pratique sportive, qui a un impact direct dans le domaine de l'action éducative, de l'intégration sociale, de la santé publique.

    Nous devons promouvoir la pratique sportive sur notre commune et contribuer à l'adaptation de l'offre sportive aux besoins du public, notamment envers les personnes en situation de handicap, les habitants des quartiers défavorisés, les personnes âgées, tout en corrigeant les inégalités d'accès à l'offre.

    photo handi sport    
              photo personnes agées

    Les collectivités locales sont des acteurs majeurs dans le développement de la pratique sportive en club.

    Des équipements publics et moyens matériels sont mis à la disposition des associations de notre commune.

    Deux éducateurs sportifs municipaux interviennent également auprès des écoles primaires publiques et privées.

    " le soutien de la Ville au développement du sport passe aussi par une politique de subventionnement de la plupart des associations sportives.." ( Extrait du site internet de la mairie du Château d'olonne )

    Prochain article :

    Bilan des subventions versées aux associations sportives castelolonnaises depuis 2008.


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    Le gouvernement va demander un nouvel effort financier aux collectivités

    La baisse des dotations de l'Etat pourrait atteindre 1,5 milliard en 2014 et 3 milliards en 2015.


     

    Pour atteindre l'objectif de ramener le déficit public à 3 % du PIB en 2017, la France doit dégager 50 milliards d'euros d'économies d'ici à la fin du quinquennat. S'y ajoutent 10 milliards d'euros supplémentaires pour financer le plan de compétitivité annoncé à la suite du rapport Gallois et, depuis peu, entre 2 et 2,5 milliards d'euros pour financer le plan anti-pauvreté annoncé par le Premier ministre.

    En somme, ce sont plus de 60 milliards d'euros que la France doit économiser sur le reste du quinquennat. L'addition est énorme.

    Les élus locaux vont devoir se serrer un peu plus la ceinture.

    Jusqu'à présent, la baisse des concours financiers de l'Etat, n'était que de 750 millions d'euros par an en 2014 et en 2015. Or cet effort serait doublé, à 1,5 milliard par an, selon l’article du journal «  Les Echos » du 06/02/2013.

    Cet effort supplémentaire de 1,5 milliard correspondrait à la quote-part des collectivités sur les 10 milliards d'euros d'économies supplémentaires que le gouvernement recherche pour financer le crédit d'impôt compétitivité.

    Après le financement de l'accessibilité des bâtiments publics, la réglementation thermique, l'augmentation du traitement des fonctionnaires catégorie C, et maintenant les rythmes scolaires, les communes doivent participer au redressement des comptes publics.

    Quand notre maire et son adjoint aux finances, J MERCIER, prendront-ils donc enfin conscience de la gravité de l'instant ? La qualité d’un bon gestionnaire consiste à savoir anticiper.

    Gérer c’est prévoir.

    J-P CHAPALAIN


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    photos bat et logo public

                   

    Dans un contexte de crise important et de réduction drastique des dotations versées par l'état aux collectivités locales, nous ne devons penser qu'à l'efficacité de nos politiques publiques.

    L'intercommunalité ne doit pas se superposer aux communes mais en être le prolongement . 

    Encourageons la mutualisation des services entre communes et communautés.

    L'intercommunalité, à savoir la Communauté de Communes des Olonnes, est l'instance à privilégier pour conduire des actions de mutualisation des moyens qui consiste à mettre en commun certains services en vue d'assumer des tâches d'intérêt public ou des missions de service public.

    Cette mise en commun des moyens par la fusion pure et simple des services non économiques d'intérêt général ( SNEIG) constitue à l'évidence un précieux outil de réduction des dépenses publiques locales et d'efficacité de l'action publique puisque la mise en commun permet des économies d'échelle et évite les doublons.

     Les marges de manoeuvre ainsi dégagées peuvent ensuite être réutilisées pour améliorer les services existants ( ou tout simplement continuer à les assurer)

    Les enjeux de cette question sont d'autant plus importants que nombre d'études récentes, ont mis l'accent sur l'urgence à optimiser l'usage des ressources des collectivités locales.

    Les compétences stratégiques dans le domaine de la planification de l'urbanisme, de l'assainissement, du tourisme et du logement doivent être transférées à la communauté.

    Ce qu'attendent les citoyens c'est une véritable dynamique intercommunale.

    La jurisprudence actuelle et l'entrée en vigueur du Traité de Lisbonne offrent aux responsables politiques des moyens pour développer l'harmonie des services entre communes et communautés.

    Ceux-ci ont le devoir pour l'intérêt général de les saisir .

    Jean-Pierre CHAPALAIN


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  • Débat d’orientation budgétaire

     

    Lors de la dernière réunion publique du Conseil Municipal, les élus ont été appelés à débattre sur les orientations budgétaires de notre commune.

    Moment fort de la démocratie locale, et instant privilégié de réflexion stratégique, le débat d’orientation budgétaire (DOB) est l’occasion d’un échange sur l’évolution de la situation financière de la commune, de déterminer les marges de manœuvre et de fixer les choix et les priorités pour l’année à venir.

    Ce rapport anticipe sur les possibilités de financement des investissements sur plusieurs années au regard des projets et réalisations en cours. C’est donc un moment important de discussion entre les élus.

    Le public présent à cette séance a malheureusement constaté que le débat n’a pas eu lieu.

    Monologue d’autosatisfaction de 6 minutes du maire, propos péremptoire de son adjoint aux finances,et aucune participation des conseillers locaux dans la discussion budgétaire, hormis une remarque de Jean-Claude Rossignol, leader du groupe minoritaire, sur les risques de dérapages de la fiscalité.

    Reléguée en toute fin de séance, la discussion n’a duré qu’à peine 10 minutes.

    Quelles sont les ressources de notre commune, et comment sont réparties ses dépenses

    L’autofinancement net, permettant à notre commune de financer pour partie ses investissements s’élève en 2012 à 4 268 000 €.

    Prospective budgétaire :

    Quelle est l’évolution à moyen terme des ressources de notre commune, et plus particulièrement celle des dotations de fonctionnement versées par l’état.

    Selon notre maire et son adjoint aux finances, les prospectives 2008-2016 sont les suivantes :   

    Questionné par un élu de l’opposition, Monsieur le maire répond :

    «  Les dotations sont figées pour 2014.2015.2016 »

    Alors que tout le monde sait que pour les années 2014 et 2015 les dotations versées aux collectivités vont être réduites de l’ordre de 1.5 Milliards ,et que dans sa reprise pour l’essentiel du rapport Gallois, le gouvernement cible particulièrement les collectivités comme source de nouvelles économies, (10 milliards supplémentaires de réduction de la dépense publique) notamment par le biais d’une nouvelle étape de décentralisation.

    Notre maire et son premier adjoint semblent encore croire au maintien des aides de l’état à leur niveau actuel, pour les années à venir.

    Quelle est notre position :

    Demain se prépare aujourd’hui, et quand on est au pouvoir on doit anticiper.

    Comme pour toutes les municipalités il convient d’ores et déjà d’anticiper :

    -       La baisse prévisible des dotations de l’état en 2014 et 2015

    -       Les inévitables impacts sur la programmation des futurs investissements (Ex : Construction du nouvel hôtel de ville dont le coût prévisionnel de réalisation est estimé à 4 600 000 €)  et leurs conséquences sur les dépenses de fonctionnement.

    Il est hors de question de compenser les baisses de dotation par la hausse des impôts locaux, ou financer les erreurs du passé par le recours à l’emprunt.                                                                                                                                          

                                                                           Jean-Pierre CHAPALAIN


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  • Liberté d’expression

     

    La liberté d’information et d’expression est une condition essentielle du débat démocratique.

    C’est l’une des premières libertés fondamentales.

    Candidat annoncé depuis Septembre 2012 aux prochaines élections municipales de ma commune,  nous avons mis en ligne le 05 Décembre 2012, sur le réseau internet, un blog pour faire connaitre à la population Castelolonnaise l’ensemble de nos propositions.

    Un service de réseau social en ligne sur Internet, ouvert à mon nom, et  permettant d'y publier des informations (photographies, liens, textes, etc…) a également été ouvert.

    Or après avoir remis à chaque habitant de notre commune, un dépliant, présentant mes vœux pour cette nouvelle année, et leur annonçant ma prochaine visite à leur domicile dans le but de les écouter et générer un projet d’avenir pour notre ville, nous avons constaté Mardi matin la fermeture de notre blog, et la suspension de Facebook.

    De tels agissements sont indignes et n’honorent pas leurs auteurs.

    J’ai alerté la presse locale de cette situation.

    Fort heureusement, grâce à l’aide de mes fidèles amis, ces deux outils de communication ont été rétablis dans leur intégralité Vendredi.

    J’informe le ou les responsables psychopathes de ces agissements, que si à l’avenir nous devions subir une telle manœuvre, nous n’hésiterions pas un instant à porter plainte.

    «  Le droit de dire et d’imprimer ce que nous pensons est le droit de tout homme libre » Voltaire

     

                                                            Jean-Pierre CHAPALAIN


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