La réforme des rythmes scolaires au Château d'Olonne sera applicable en septembre 2014.

Alors que l'opposition CAP VRAI s'exprimait sur cette réforme, j'ai été frappé par l'attitude méprisante, suffisante, prétentieuse, arrogante, insultante de certains élus  de la majorité à l'égard de l'orateur, qui fut contraint de s'interrompre à plusieurs reprises en raison des gloussements intempestifs émis par ces élus .

Une nouvelle fois, certains élus de la majorité n'ont pas particulièrement brillé par leur qualité d'esprit d'écoute.

Quelle étrange impression mardi soir , lors de la séance publique du conseil municipal. 

Ce comportement m'a rappelé quelque peu la scène 1 de la pièce bouffonne de Molière, les précieuses ridicules, ou  l'on apprend que deux seigneurs ont rencontré deux femmes sottes, donzelles ridicules et pecques. Ces deux femmes ont mal reçu les deux gentilshommes en manifestant à leur égard des signes d'impolitesse, laissant entrevoir une certaine moquerie de leur part.

" Je n'ai jamais vu tant parler à l'oreille, qu'elles ont fait entre elles, tant bailler, tant se frotter les yeux, et demander tant de fois, quelle heure est il "

Au Château d'Olonne , " les gens de cette qualité doivent probablement savoir tout  sans avoir jamais rien appris".

Souffrez, Mesdames et Messieurs les élus de la majorité, que nous prenions un peu la liberté de vous exprimer notre indignation.

Qui n'a pas rencontré des difficultés à placer son jeune enfant en garderie ?

Il est nécessaire lorsque les parents travaillent, sont en formation ou à la recherche d'un emploi, de mieux organiser l'offre d'accueil des nourissons et des jeunes enfants âgés de moins de trois ans.

Il n'est plus acceptable que les femmmes soient  contraintes de se retirer du marché du travail, voire rencontrer des difficultés pour s'y intégrer, parce qu'elles n'ont pas trouvé de solution de garde pour leur enfant.

Nous devons mettre en oeuvre des mesures concrètes en faveur de la petite enfance , pour répondre aux attentes de nos concitoyens et améliorer leur bien-être au quotidien.

Prochain article: Spécificité de notre territoire

Extrait du site officiel de la ville du Château d'olonne:

" En complément de la mise à disposition d'équipements publics, la ville contribue au bon fonctionnement des associations sportives par le versement régulier de subventions. Le budget qu'y consacre la ville augmente sensiblement au fil des années. Ces subventions sont accordées à partir de l'examen des besoins exprimés par l'encadrement des clubs " 

Qu'en est il depuis 2008 ?

1 : Subventions versées:

Le montant des subventions allouées en 2013 aux associations sportives par la commune du Château d'Olonne a été rendu officiel mardi 26 février  lors de la dernière séance du conseil municipal, aussi nous pouvons désormais établir le bilan des aides financières versées depuis 2008 par la commune  ( En excluant l'OMSL, et les sommes versées à titre exceptionnel pour des manifestations ponctuelles)

 

 

 

3 : Evolution du ratio subvention/nombre de licences.

 

 

Conclusions:

Depuis trois ans le montant global des subventions n'a pas évolué.

Plus de la moitié des associations sportives de notre commune percoivent la même subvention depuis 2008.

Si l'on considère l'inflation depuis 2008 et l'augmentation du nombre de licenciés depuis 2010 on constate que l'aide apportée par la commune aux associations sportives diminue.

Nous devons promouvoir la pratique du sport, pour les valeurs morales, éducatives et sociales qu'il véhicule. Aidons davantage nos associations sportives.

Prochain article: Nos propositions pour 2014. 

" La situation économique des éleveurs de bovins est arrivée à un point de rupture"

Les éleveurs de bovins présentent les revenus les plus faibles du secteur agricole, et la plupart d'entre eux ont du mal à joindre les deux bouts.

Il est nécessaire de réorienter les aides , maintenir les quotas, prendre en compte les coûts de production afin de maintenir cette filière.

Nos éleveurs souffrent d'une augmentation du cours des matières premières, et notamment des produits d'alimentation du bétail, à travers l'envolée du prix des céréales et du soja.

   

Comment promouvoir une politique locale de soutien aux éleveurs en particulier et au monde agricole en général ?

Des solutions existent, et nous les mettrons en oeuvre dès 2014.

Nous favoriserons l'autonomie fourragère. Nos éleveurs doivent pouvoir cultiver des céréales.

Nous développerons une consommation locale de proximité en favorisant les circuits courts de commercialisation des produits agricoles conçus localement.

  

Nous renforcerons le lien Urbain-Rural

- Animation à la ferme

- Marchés de producteurs fermiers, dans le centre bourg par exemple

- Points de vente collectifs

  
  

Ensemble, nous devons agir pour enrayer le déclin de l'agriculture familiale

J-P CHAPALAIN